Jesus'freaks
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Jesus'freaks

lieu de rencontre et d'amitié pour tous les jeunes fans de Jésus, fiers de leur foi et prets à embrasser la terre de leur amour du Christ!
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache
Voir le deal
64.99 €

 

 L'Eglise et le relativisme

Aller en bas 
5 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Le pti prince

Le pti prince


Nombre de messages : 857
Localisation : Genève ;-)
Date d'inscription : 29/09/2005

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeSam 27 Jan - 2:54

Benny a écrit:
Le pti prince a écrit:


ça me gêne pas, ce qui me gêne c'est que la femme dans la plupart des sociétés humaines est maltraitée. encore et peut-être surtout aujourd'hui.

Le plus étonnant, c'est qu'aucune fille du forum n'exprime son point de vue.

c'est parce que, dans une société machiste, elle n'ont la parole que si on leur la donne bounce pig

vous pouvez y aller, les filles king
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetiprince.skyblog.com/
Benny




Nombre de messages : 914
Age : 37
Localisation : Genève
Date d'inscription : 31/10/2006

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeSam 27 Jan - 10:42

Le pti prince a écrit:
Benny a écrit:
Le pti prince a écrit:


ça me gêne pas, ce qui me gêne c'est que la femme dans la plupart des sociétés humaines est maltraitée. encore et peut-être surtout aujourd'hui.

Le plus étonnant, c'est qu'aucune fille du forum n'exprime son point de vue.

c'est parce que, dans une société machiste, elle n'ont la parole que si on leur la donne bounce pig

vous pouvez y aller, les filles king

lol! lol! lol! lol! lol! lol! lol! lol!
Revenir en haut Aller en bas
Benny




Nombre de messages : 914
Age : 37
Localisation : Genève
Date d'inscription : 31/10/2006

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeSam 27 Jan - 11:29

Au sujet de l'oecuménisme, voici un article fort intéressant. Merci Ségolène Smile

Citation :
26 janvier Église
Œcuménisme : quelle unité voulons-nous ?
Dominique Daguet
Semaine de prière pour demander que l’unité entre chrétiens se construise un peu plus en cette nouvelle année 2007 : car si nous ne cessons de dénoncer le scandale de nos divisions, qui ont commencé dès après la Pentecôte de l’an 33, si tant est qu’elles n’ont pas existé du vivant même de Jésus – la trahison de Judas n’en est-elle pas un signe clair ? – il serait temps, pense en lui-même le chrétien convaincu de sa nécessité, qu’elle progresse à pas plus rapides.
Mais comment ? Les divisions, parfois extravagantes, traversent et crucifient chaque Église : que de catholiques déclarés qui ne croient pas en la divinité du Christ, ni en sa résurrection !
Ces fantaisies se retrouvent dans les autres confessions chrétiennes, que ce soit dans l’Église anglicane (aujourd’hui si fragilisée dans sa “communion”) ; les orthodoxes (eux-mêmes partagés entre plusieurs patriarches ; les protestants et leurs si nombreuses dénominations : je dis fantaisies, je devrais dire folies [1], ou pire, car enfin la souffrance première du Christ, au temps de sa présence parmi nous, fut de n’avoir pas été reconnu pour Celui qu’“Il est”, Lui le Fils du Père, son Envoyé, Verbe éternel incarné en la Vierge Marie par l’action de l’Esprit Saint pour assurer notre salut en passant par la Croix et la Résurrection : également de n’avoir pas été reconnu pour ce qu’Il faisait et en ce qu’Il disait. S’Il n’est pas ressuscité au troisième jour, sa promesse est vaine et sa divinité une prétention : n’est catholique que celui qui prend tout sans restriction, le sensible comme le spirituel, ce qu’il comprend aujourd’hui et ce qu’il ne comprendra que plus tard, demain ou bien outre-vie, quoique ce soit essentiel.
D’abord l’unité en soi
Hier, un journaliste ancien pasteur racontait, sur une radio chrétienne, qu’il lui arrivait d’assister à la messe et d’y communier, provoquant chez le prêtre qui le connaît juste une légère hésitation : sans dire s’il croyait ou non à la présence réelle de son Seigneur qui est aussi le mien : il précisa qu’il fallait «oser poser ainsi des actes d’unité» par-dessus les barrières érigées par les institutions. Mais, pour le chrétien, le fait de communier à la messe catholique ne suppose-t-il pas la foi en l’efficacité radicale du sacrement, au point que le pain et le vin ne sont plus pour lui que signes sensibles de cette présence parmi nous du Verbe incarné ? Manger alors l’hostie – parfois boire à la coupe – sans croire en cette efficacité-là ne reviendrait-il pas, pour ce chrétien protestant, à nier la foi catholique et à désunir bien plus profondément qu’unifier ? Questions fortes dont un théologien de l’œcuménisme pourrait s’emparer…
Voilà donc une façon de “faire l’unité” qui crée plus de difficultés qu’on ne pense et oblige à tenter de réfléchir sur l’unité que nous désirons tous sans en avoir peut-être la même définition : il me semble urgent de préciser, mieux que cela n’a été fait jusqu’à présent, le but que nous cherchons à atteindre.
Il est possible que je ne fasse ici qu’exprimer mon ignorance : probable en effet que cet effort a été consenti depuis longtemps et que les spécialistes de l’œcuménisme savent parfaitement ce qu’ils cherchent à atteindre.
Est-ce l’unification de la foi ? Entre les orthodoxes et les catholiques, les deux plus anciennes Églises, il y a si peu de divergences qu’on imagine que l’union devrait aller quasi d’elle-même : ce qui n’est pas. L’histoire pèse d’un poids si lourd que nous entendre sur la définition de l’Esprit-Saint ne se fera que lentement à moins d’une pentecôte subite ! Mais il semble que sur la question de la “prééminence” de Pierre et du “supériorat” des patriarches l’on ait fait ces temps derniers des avancées importantes. Mais avec les protestants, je crois que l’unité n’est pas pour ce siècle, même si avec les luthériens le cheminement apparaît comme plus aisé qu’avec les calvinistes ou les évangélistes extrêmes…
Une étude approfondie de l’histoire des commencements de chaque Église permettrait certainement des comparaisons utiles et éclairerait la question de la légitimité de ces naissances passées : une étude qui devrait être confiée à des équipes pluridisciplinaires comportant des membres de toutes les confessions ainsi que des historiens n’appartenant à aucune. Encore faudrait-il que chaque Église accepte le principe d’une telle mise à nu de son surgissement comme de sa fidélité à travers les âges, même si des surgeons très récents [2] s’affirment d’emblée plus authentiquement fidèles au Christ et aux Évangiles que les plus anciens, taxés d’un attachement paralysant à leurs traditions… Mais enfin, un tronc commun pourrait en découler sur lequel s’appuyer pour continuer l’entreprise de rassemblement unitaire…

« Désirée dans l’amour »
Il est cependant un point qui me désole : il est rare que nous nous aimions entre les diverses confessions chrétiennes. Or sans amour pas d’unité, puisque le premier fruit de l’amour est celui de l’unité. Dans la “binité” qui résulte du sacrement de mariage, les membres sont forts différents l’un de l’autre : pourtant ils sont unis d’un lien indissoluble, justement parce qu’ils s’aiment et ont fait reconnaître et cautionner ce lien par le Seigneur Lui-même.
Que signifierait ici l’amour ? Que personne ne chercherait à imposer à qui que ce soit un renoncement à celui qu’il est : un tel renoncement ne se justifierait et ne pourrait donc être reconnu que s’il est fondé sur une conviction profonde, un approfondissement décisif de la foi à la lumière, non seulement de son Église, mais également à celle des autres. Pas plus ne serait efficace l’exigence d’une quelconque abjuration : on ne renierait rien, on ne ferait que passer à l’étage au-dessus ou d’à côté. Les formules ont leur importance, et parfois dans le passé ne respectaient suffisamment la dignité de chaque être.
Nous catholiques, n’aurions-nous donc rien à apprendre ou retenir de la vision, des raisons et de l’expérience des autres chrétiens ? Et ces autres-là, n’auraient-ils rien à entendre et à reprendre aux catholiques, rien à repenser en fonction de leur si ancienne fidélité, même si elle fut parfois à éclipse quoique toujours ensuite renouvelée ?
L’unité, l’unité ! Suffirait-il de répéter le mot dix mille fois pour qu’elle advienne ? Elle surgira d’elle-même, quoique prenant son temps, si elle est avant tout désirée dans l’amour. Peut-être qu’en vérité cette unité n’est recherchée, vitale pourtant, que pour obtenir une reconnaissance intellectuelle, théologique, plus encore que spirituelle, plus encore qu’amoureuse et/ou mystique ? Elle devrait être ressentie en chaque chrétien comme une sorte de besoin de tout “l’être” qu’il est, ou une faim lui tenaillant l’âme à la façon d’une absence porteuse d’angoisse, comme une souffrance asphyxiante par suite d’un manque destructeur. Nos divisions, à travers notre histoire, furent autant de gouffres ouverts dans notre esprit comme dans notre cœur et nous ne pouvons croire qu’elles soient le fruit ou l’ombre portée de la vérité : seulement d’un ou de plusieurs mensonges qui nous ont été infusés au pied de l’Arbre funeste.
Ces symptômes, les éprouvons-nous ? Et si nous les éprouvons, est-ce avec assez d’acuité, de mordant ? Notre prise de conscience est-elle assez vigoureuse pour nous faire entrer dans une telle démarche antinomique à celle de perte que nous ne cessons d’entretenir depuis si longtemps ? L’unité, si nécessaire et que nous devrions faire passer de l’espérance à l’existence, même s’il faut se dire avec force qu’elle est déjà en chacun de nous puisque nous sommes tous bien persuadés, hors toute folie ou équilibrisme religieux, que Jésus le Christ est notre Sauveur et notre Dieu.

[1] Un sondage récent, que publie le Monde des Religions, laisserait penser que les Français qui se disent catholiques ne seraient plus que 51%, et que sur ces 51% la moitié ne croient ni en la divinité ni en la résurrection de Jésus le Christ : doublé d’ailleurs naturel, car comment croire en la résurrection si l’on ne croit pas à la divinité ? Si au moins les 25,5% de catholiques qui restent fidèles à la foi non amputée de l’essentiel vivaient de cette foi sans restriction et sans paresse ! (Cf. de G. Leclerc, Une France bien peu catholique, Décryptage, 19 janvier)
[2] Quelques-uns d’entre eux se mettent, il faut en convenir, dans une position excentrique, dans tous les sens du mot.
Source : http://www.libertepolitique.com/public/decryptage/article.php?id=1790&
Revenir en haut Aller en bas
Le pti prince

Le pti prince


Nombre de messages : 857
Localisation : Genève ;-)
Date d'inscription : 29/09/2005

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeSam 27 Jan - 19:01

Citation :
il est rare que nous nous aimions entre les diverses confessions chrétiennes.

Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetiprince.skyblog.com/
Benny




Nombre de messages : 914
Age : 37
Localisation : Genève
Date d'inscription : 31/10/2006

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeDim 28 Jan - 13:16

Le pti prince a écrit:
Citation :
il est rare que nous nous aimions entre les diverses confessions chrétiennes.

Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed

C'est une observation qui vaut ce qu'elle vaut. Mais je pense qu'elle est assez juste.
Revenir en haut Aller en bas
Le pti prince

Le pti prince


Nombre de messages : 857
Localisation : Genève ;-)
Date d'inscription : 29/09/2005

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeDim 28 Jan - 17:38

Benny a écrit:
Le pti prince a écrit:
Citation :
il est rare que nous nous aimions entre les diverses confessions chrétiennes.

Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed

C'est une observation qui vaut ce qu'elle vaut. Mais je pense qu'elle est assez juste.

Embarassed Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed Embarassed
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetiprince.skyblog.com/
Benny




Nombre de messages : 914
Age : 37
Localisation : Genève
Date d'inscription : 31/10/2006

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeLun 29 Jan - 1:51

Le pti prince a écrit:
Benny a écrit:
Le pti prince a écrit:
Citation :
il est rare que nous nous aimions entre les diverses confessions chrétiennes.

Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed

C'est une observation qui vaut ce qu'elle vaut. Mais je pense qu'elle est assez juste.

Embarassed Embarassed pas de commentaires à faire Embarassed Embarassed

Bon, ok, pas de commentaire sur cette phrase. Mais l'article dit d'autres choses aussi.
Revenir en haut Aller en bas
Le pti prince

Le pti prince


Nombre de messages : 857
Localisation : Genève ;-)
Date d'inscription : 29/09/2005

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeVen 15 Juin - 20:06

Citation :

Eduquer à la vie et au témoignage signifie aider nos frères, nous aider les uns les autres, à entrer dans un rapport sérieux avec le Christ et le Père », a déclaré Benoît XVI au congrès du diocèse de Rome, le 11 juin : ajoutant qu’éduquer à la foi n'est pas une « chose facile» aujourd’hui… Le thème du congrès est Former à la foi et au témoignage chrétien. Le pape a souligné « les difficultés accrues dans la transmission aux jeunes générations des valeurs fondamentales de l'existence et du bon comportement », difficultés « qui frappent aussi la famille et les autres structures de formation» : c’est, selon lui, « une crise inévitable dans une société et une culture qui cèdent trop souvent au relativisme, qui se privent de la lumière de la vérité pour finir par douter de la valeur de la vie, des rapports et des engagements qui la caractérisent ». Société qui n’offre aux jeunes que des « objets de consommation gratifiants mais éphémères», et à laquelle cèdent les parents et les enseignants, « tentés d'abdiquer leurs responsabilités sans plus savoir quelle est leur mission spécifique ».

Pour « libérer la société de la crise éducative », Benoît XVI indique aux éducateurs chrétiens la prière et de la « référence au Christ » : « seul celui qui le connaît , l'aime, le comprend, l'écoute », peut aider les jeunes « à s’apercevoir que la vie chrétienne est possible et raisonnable ; qu'elle est même le mode de vie le plus raisonnable ». « Quelle que soit leur fragilité », les jeunes – s’ils « se sentent respectés » et « pris au sérieux dans leur désir de liberté », peuvent répondre à des appels «exigeants ».
une nouvelle fois, je trouve la vision sociétale catholique conservateur aussi figée que pessimiste. mais bref.

cette citation vient du blog de... de Plunkett, sacré lui : http://plunkett.hautetfort.com/archive/2007/06/13/benoit-xvi-appelle-tous-les-chretiens-a-un-rapport-serieux-a.html#more

après on a droit à son commentaire sur ce qu'a dit le pape.

moi j'ai donné le mien sur le blog, mais vu que je ne serai sans doute comme d'habitude pas publié, étant un libre penseur dissident pig (pour de plunkett, je serais plutôt une victime consentante de la pensée médiatique post-catholique...), je me permets d'utiliser cette plateforme qui elle au moins n'a pas une censure trop prononcée, pour énoncer mon commentaire:

Citation :
on est frappé du désarroi doctrinal de beaucoup d’hommes et de femmes qui se présentent à vous comme catholiques, voire « en responsabilité paroissiale »… et qui ne savent trop quoi penser des « dogmes » (comme ils disent) de leur propre Eglise. « Dogmes » dont ils parlent avec gêne, parfois avec irritation : parce que les médias n’aiment pas les dogmes – et qu’on se sent gênés de n’être pas en phase avec les médias… Les mêmes femmes et hommes disent avec morosité que leurs enfants ne mettent plus les pieds à l’église : c’est, disent-ils, « à cause des dogmes et du manque de réformes ». Pensent-ils cela ? Ils l’ont entendu dire à la télé. Par qui ? Des journalistes, qui ne connaissent pas les religions et les confondent avec des syndicats ou des partis politiques. En réalité les églises se vident parce que les gens ne voient pas de raisons d’y aller ; et c’est parce qu’on ne leur a pas donné ces raisons.
P. de Plunkett

Il ne s'agit pas non plus, selon moi, de donner autant d'importance aux médias et à la pensée (que l'on juge) majoritaire de notre société, laquelle serait relativiste et n'apporterait aucun fondement sur lequel se reposer.
Par contre je pourrais être d'accord avec ça: "Des journalistes, qui ne connaissent pas les religions et les confondent avec des syndicats ou des partis politiques."
Mais c'est tout.

"Pensent-ils cela ? Ils l’ont entendu dire à la télé." P. de Plunkett

Il ne faudrait pas non plus prendre des gens pour des consommateurs d'idées (télévisuelles) reçues, prêts à les transformer en nouveaux dogmes. Encore une fois, la société médiatique d'aujourd'hui n'est pas non plus la responsable de tous les maux.

"En réalité les églises se vident parce que les gens ne voient pas de raisons d’y aller ; et c’est parce qu’on ne leur a pas donné ces raisons. " P. de Plunkett

Les gens ne seraient-ils pas capables de trouver eux-mêmes ces raisons ?? Il faudrait les leur donner ? Sur un plateau ?
Si comme le dit notre Pape, "la vie chrétienne est possible et raisonnable ; qu'elle est même le mode de vie le plus raisonnable", alors si les gens étaient formés à être capable de penser par eux-mêmes, autonomes, alors la pensée unique des médias ne pourraient rien, et un nombre important de personne adhéreraient à "la vie chrétienne", "le mode de vie le plus raisonnable".
Donc avant de baser la formation sur "la transmission aux jeunes générations des valeurs fondamentales de l'existence et du bon comportement", les dogmes d'une religion ou autres valeurs inculquées, il me semble que la fonction nu 1 de l'éducateur chrétien devrait être de former des êtres capable d'autonomie, donc de se donner ses propres lois.
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetiprince.skyblog.com/
Le pti prince

Le pti prince


Nombre de messages : 857
Localisation : Genève ;-)
Date d'inscription : 29/09/2005

L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitimeVen 15 Juin - 21:13

Revenir en haut Aller en bas
http://lepetiprince.skyblog.com/
Contenu sponsorisé





L'Eglise et le relativisme - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: L'Eglise et le relativisme   L'Eglise et le relativisme - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
L'Eglise et le relativisme
Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jesus'freaks :: Religion :: vie en l'Eglise-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser