Conférences en format mp3 de la fac. de théo protestante

Si vous voulez nourir votre intellect de théologie protestante, je vous suggère d'écouter les cours de la fac. de théologie de Genève sur http://www.unige.ch/theologie/services/conferences2/divers.html

j'ai l'impression qu'on a tellement à apprendre encore. Oh ce n'est pas qu'une impression. Mais je ressens ce poids de devoir devenir plus humain, d'avoir tout a portée de main, et de si peu saisir....

moi je veux apprendre la théologie de la libération. miam miam c'est le seul truc qui me botte dans la théologie.

je sais c'est pas très vaticaniste. trop révolutionnaire sans doute.

mais c'est ce qui me botte.

Et je vote Patrice Mugny, qui est Vert et est un chrétien, catholique qui s'est ouvertement reconnu catholique de gauche sympatisant de la théologie de la libération sur Léman Bleu hier !!

La théologie de la Libération, ça ressemble trop à un truc de marxistes.

Benny a écrit:

La théologie de la Libération, ça ressemble trop à un truc de marxistes.

le vatican, ça ressemble trop à un truc de fascistes

Citation :

La théologie de la libération est un mouvement de pensée politique et religieux issu de l'Église Catholique né en Amérique latine en 1972 et inspiré par le communisme pour certains (plutôt marxiste)
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Lors d'un voyage à Mexico en janvier 1979, le pape Jean-Paul II déclare que « cette conception du Christ comme une figure politique, un révolutionnaire (...) est incompatible avec les enseignements de l'Église ».
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La théologie de la libération a fait l'objet de deux condamnations du Vatican en 1984 et 1986. Tout en reconnaissant la légitimité d'un combat contre la misère, la Congrégation pour la doctrine de la foi condamnait les emprunts faits à la philosophie marxiste et tentait de recadrer les aspirations des peuples sud-américains dans la doctrine sociale de l'Église.
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Le pape Jean-Paul II et le courant de l'Opus Dei (...) se sont montrés défavorables à ce mouvement, à cause de ses théories reprenant des concepts marxistes comme la lutte des classes. La théologie de la libération était ressentie comme une menace pour l'unicité et l'impact public de l'Église catholique. En outre, affirmer la lutte des classes pouvait dans une certaine mesure encourager la participation à des actions violentes comme la guérilla, ce que refusait le Vatican.
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Les critiques du Vatican se concrétisent le 15 mars 2007, lorsque la Congrégation pour la doctrine de la foi fait état, à propos des écrits du jésuite Jon Sobrino, de « notables divergences avec la doctrine de l'Église »[2], faisant notamment remarquer que Jon Sobrino accorde une place trop importante à l'aspect humain de Jésus, au détriment de son aspect divin. Le théologien est alors interdit d'enseignement et de publication par l'archevêque de San Salvador,

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie_de_la_lib%C3%A9ration

pas très étonnant cette attitude de l'Eglise garante du patriarcat, de l'aristotratie cléricale et qui préfère attendre le retour en gloire du Christ plutôt que dénoncer l'enrichissement du clergé, des riches au détriment des pauvres, des faibles ; qui préfère défendre le droit patriarcal naturel, la suprématie masculine complément du doux assentiment féminin à la prédominence masculine.

quand le Vatican sera autre chose qu'un aglomérat de bonshommes, que le discours synodal de son supérieur hierarchique au lieu de vanter les beauté de l'Eucharistie sortira du conformisme et de la bourgeoisie cléricale patriarcale peut-être l'Eglise aura-t-elle un peu plus de crédit dans ce monde païen, emprunt de relativisme et si éloigné de la Vraie foi ?